Pose de chéneaux à Montauban et Toulouse
Dans le langage populaire, le chéneau est souvent confondu avec la gouttière, et pourtant il diffère de cette dernière. Si l’objectif reste le même, le chéneau ne sera pas installé de la même manière, et aura un fonctionnement un peu différent. Les matériaux peuvent également différer, en particulier quand il s’agit de chéneaux situés sur des bâtiments assez anciens.
En revanche, le chéneau peut être associé à une gouttière, qui sera positionnée de manière verticale, et reliée à ce dernier pour évacuer les eaux.
Comment le chéneau est-il posé ?
Contrairement à la gouttière qui est installée après la construction, le chéneau sera directement intégré dans le gros œuvre. Celui-ci est en effet directement bâti avec le toit, et pourra adopter plusieurs situations. Il sera contre le mur, ou directement sous un pan de mur. On le retrouve uniquement au sein de bâtiments imposants, voire historiques, et il est assez rarement employé pour les habitations individuelles.
Il sera souvent associé à une gouttière ou à un tuyau de descente, dont le but sera de faire descendre l’eau jusqu’au sol, vers un système de récupération ou d’évacuation des eaux.
Deux types de pose existent aujourd’hui. Il pourra être placé entre deux pans de toiture directement, ou alors il sera posé contre une structure, qui sera en pierre, en bois, en plâtre, en béton etc, selon la nature du bâtiment.
Les différents matériaux utilisés pour la fabrication de chéneaux
Les chéneaux que l’on trouvait au sein des constructions anciennes étaient généralement réalisés à base de pierre. Certains chéneaux anciens sont même faits de bois, puis couverts de plomb.
Aujourd’hui en revanche, les matériaux utilisés pour la réalisation des chéneaux sont les mêmes que pour les gouttières. Notamment, on retrouvera le PVC et le zinc qui sont les deux plus courants. D’autres comme l’aluminium ou le cuivre sont utilisés moins fréquemment.